Photo: growingblue.com |
The Strategic Action Programme, signed at the Vienna headquarters of the International Atomic Energy Agency (IAEA), commits Chad, Egypt, Libya and Sudan to ensure the equitable use of the Nubian Sandstone Aquifer System, a huge water resource that lies beneath the four nations.
It also commits the countries to strengthen and build on a previously existing regional coordination mechanism, in part by establishing a new Joint Authority for the Nubian Aquifer System, according to a news release issued by the IAEA.
“I congratulate all involved on this significant achievement,” said IAEA Director General Yukiya Amano. “Water is a key resource, and effective management and use of such water resources is essential for the future.”
The Programme lays the groundwork for improving cooperation among the four arid nations and for strengthening their capacity to monitor and manage the aquifer effectively, noted the Agency.
It added that, with growing populations and decreasing water availability from other sources in the region, the aquifer is under mounting pressure. “Removing water without a clear understanding of transboundary and other implications threatens water quality and has the potential to harm biodiversity and accelerate land degradation,” the IAEA pointed out.
The Programme resulted from a joint technical cooperation project of the UN Development Programme (UNDP) and the Global Environment Facility (GEF), the UN Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) and the IAEA.
“UNDP would like to congratulate the Governments of Egypt, Libya, Chad and Sudan for achieving this important milestone towards the cooperative management of their shared sub-surface waters which will help to ensure maintenance of livelihoods and ecosystems dependent upon the aquifer,” said its Administrator, Helen Clark.
The Nubian aquifer is the world’s largest known ‘fossil’ water aquifer system, meaning that the water is ancient and non-renewable, according to the IAEA.
The joint technical cooperation project began in 2006 and has already completed a sophisticated model of the aquifer to assist the four countries in optimizing use of the aquifer to meet human needs, avoid transboundary conflict, and protect ecosystems dependent upon the resource.
The IAEA contributes to the project in part by employing isotopic hydrology techniques to monitor the quantity and quality of groundwater and how it moves underground.
http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=45877&Cr=water&Cr1=management#.Ujnsa3-IzJc
18/9/13
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Photo: NASA |
L'ONU salue l'accord conclu entre quatre pays africains pour la gestion commune de leurs ressources hydriques...
ΑπάντησηΔιαγραφή18 septembre 2013 – L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a salué mercredi la signature d'un accord-cadre par quatre pays d'Afrique du Nord-Est pour améliorer la gestion de l'eau d'un réservoir souterrain situé le long des frontières entre ces pays.
Le Tchad, l'Égypte, la Libye et le Soudan se sont mis d'accord sur un programme pour renforcer l'exploitation et le partage équitables de la nappe phréatique souterraine du bassin de Nubie. En vertu de cet accord, les pays s'engagent à renforcer et développer le mécanisme de coordination régional qui existe déjà, notamment en établissant une autorité commune pour la gestion de la nappe phréatique.
« Je félicite toutes les parties prenantes à cette réalisation considérable », indique le Directeur général de l'AIEA, Yukiya Amano, dans un communiqué de presse. L'accord est l'aboutissement d'un projet de coopération technique commune du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), du Fonds pour l'environnement mondial (FEM), de l'Organisation des Nations Unies pour la science, l'éducation et la culture (UNESCO) et de l'AIEA.
« L'eau est une ressource clé, la gestion et l'utilisation efficaces des ressources hydriques sont essentiels pour l'avenir. L'accord concernant le programme d'action stratégique est le fruit d'une réelle coopération entre les quatre États, l'AIEA et le PNUD. Je suis confiant que ce programme sera couronné de succès et bénéfique pour les populations dans la région », a-t-il ajouté.
Le programme pose les bases d'une coopération renforcée entre ces quatre pays arides et renforcera leur capacité à surveiller et gérer la nappe de façon efficace. Avec l'expansion démographique et la diminution des autres sources, la nappe phréatique est de plus en plus exploitée.
« Le PNUD félicite les gouvernements du Tchad, de la Libye, de l'Égypte et du Soudan pour cette étape historique de la gestion coopérative des ressources souterraines partagées d'eau qui sont primordiales pour préserver les moyens de subsistances et les écosystèmes », a souligné de son côté l'Administratrice du PNUD, Helen Clark.
http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=31063&Cr=aiea&Cr1=#.Ujnvvn-IzJc
18/9/13